Comme il s’agit d’un jeu récent, je préviens : il y aura du spoiler a la fin de cet article sur le boss final. Rien de bien folichon mais son apparence est dévoilée.
Tout comme dans le précédent épisode qui mettait a l’honneur le gamepad de la Wii U, Link (et Zelda) utilise ici une Nintendo Switch pour interagir avec le monde et stocker les informations importantes.

Une autre référence est faite a un objet de l’histoire de Nintendo : le nouveau pouvoir principal qui permet de déplacer les objets s’appelle l’Ultra Hand, en référence a un des premiers produits à succès de la firme de Kyoto, a l’époque où ils ne produisaient que des jouets. Ce jouet a été crée en 1966 par Gunpei Yokoi, qui sera plus tard le génial inventeur des Game & Watch, de la Gameboy et de la Wonderswan, et recycle le principe de bras extensible pour les enfants. Le Ultra Hand, tout comme ROB ou d’autres périphériques de Nintendo, est souvent référencé et repris dans divers jeux de l’éditeur.



Pour rester sur les jouets, le sanctuaire Jochi-iu demande a Link de résoudre une tour faisant fortement penser au fameux jeu Jenga d’Hasbro.


Avec les Amiibo ou en explorant les profondeurs, il est possible d’obtenir les costumes des jeux précédents. Goutiée peut les commenter et fait des références aux aventures passées. Des chapeaux comme la couronne de Midona ou le masque de Majora, du fait de leur origine « maléfique » dans leur œuvre d’origine (monde des ténèbres, sorcellerie, etc) permettent de mieux résister a la corruption du miasme.


Une des missions optionnelles met Link aux commandes d’un planeur qui devra atterrir le plus proche d’une cible pour marquer un maximum de points. C’est une référence à Pilotwings, une autre licence de Nintendo qui propose exactement ce genre d’épreuves.



Autre référence a une license de Nintendo, quand on tire sur les canards, ils ont une animation unique qui reprends Duck Hunt.
Enfin, lors du combat final, la barre de vie de Ganondorf s’étend au delà de la limite de son nom et touche quasiment le bord de l’écran, pour signifier qu’on est plus là pour rigoler.

